Petite halte à Kuala Lumpur, le temps d’obtenir nos visas chinois. Il y a une grosse communauté chinoise dans cette ville, du coup le centre des visas est bien organisé. Faudra compter 6 jours néanmoins..
Pas trop grave, la ville est agréable à vivre. Et d’une grande mixité. Nous aurons pu visiter un temple chinois, des temples hindous, la mosquée nationale. Et évidemment les tours Petronas avec leur mega centre commercial à leurs pieds. D’ailleurs, ce dernier comptait une allée de magasins japonais. Pour la nourriture ce fut pareil, dumpling chinois, barbecue coréen, curry indien…
Bref ce fut l’occasion d’avoir un avant goût de la suite du voyage. On a vraiment hâte d’aller voir ailleurs.
Catégorie : carte postale
carte postale
-
Kuala Lumpur, ville cosmopolite
-
Retour vers le Ubud
« Alors que revoilà la sous-préfete »… Après y être passé en coup de vent, nous passons notre dernière semaine sur Ubud. On a fait tous les trucs du Bidochon de base: massage au milieu des rizières, spectacles de danses traditionnelles, musée d’art, temples et farniente à l’hotel. Ah… et on s’est aussi dégoté un bon petit resto franco-indonesien… parce qu’à force de manger du riz… on commençait à être constipé sévèrement !
-
I don’t love Lovina, et le reste non plus
Bon pas besoin de tergiverser, ce fut nos 6 jours de la loose. Nous sommes passés par 3 villes/villages : Lovina, Banjar et Munduk. On aurait bien fait de s’en abstenir. Lovina est connue pour ses dauphins. Sauf que quand on voit la traque subit en traversant la ville en scooter pour un hébergement (en roulant !), les pauvres bêtes doivent étouffer sous le nombre de bateaux.
Banjar est connu pour ses bains chauds. Les bains sont en fait moyen et ya rien d’autre. Enfin Munduk, sur internet on nous avaient vendu ses balades à travers les montagnes, avec un temple majeur à portée de scooter. Sur place on a trouvé une seule balade à faire et encore pas si pittoresque. Le fameux temple est une blague tellement il est nul.
Bref on a vu ailleurs, on retourne sur Ubud. -
A la découverte des palais d’eau
Amed, petit village côtier au nord, recommandé par le fameux Lonely planet pour la plongée et le snorkeling. De plus, non loin de là, se trouve une épave d’un navire américain de la seconde guerre, visible depuis la côte. Super promesse. Dans la réalité nous avons vu un village se résumant à une rue bordée de guesthouse et cherchons toujours la carcasse au bord de mer.
Heureusement nous avons un scooter. Une heure plus tard nous voilà nous baladant dans les palais d’eau construits par les derniers rois de Bali. Détail qui ne gâche rien, les sites sont bien entretenus. Leur visite est reposante et fait du bien.
Ceci dit, cela occupe une après midi seulement, du coup on part, on va voir ailleurs. -
Bali de nos rêves
Le voyage pour y arriver fut épique, Google nous plaçant l’hôtel au milieu des rizières et de l’autre côté de la rivière. Après avoir testé toutes les routes parallèles nous y voilà.
La photo parle pour nous. Ce sera notre plus bel hébergement de Bali. Avec des randonnées à travers des rizières d’un vert intense. Voilà le Bali que nous cherchions. En plus le coin est tranquille et on y mange pas mal (pour l’Indonésie).
Seul ombre au tableau, la visite du temple mère pollué par les pseudo guides qui bloquent l’accès aux principaux sites. Tant pis, de beaux temples c’est pas ce qui manque ici. -
Crémation royale à Ubud
Arrêt rapide à Ubud, le temps de trouver un scooter à louer pour 3 semaines. Nous avons décidé de faire un road trip au nord de Bali.
A peine arrivé, nous découvrons une ville en pleine effervescence. Et pour cause, ce jour là a lieu la crémation d’un membre de la famille royale. Cérémonie on ne peut plus rare.
Le but est de permettre à l’esprit de la défunte de quitter son corps physique et ainsi pouvoir se réincarner. Bien que sans pouvoir, la famille royale a conservée un rôle important. Tout le monde est sur son 31. Les tenues sont somptueuses. Cette ville est prometteuse, on y restera plus longtemps au retour. -
Dans le confort de Kuta
Après plus d’1 semaine sur Bali à se galèrer rien que pour trouver un truc sympa à manger, nous avons décider de céder aux sirènes de Kuta.
Arrivés sur place, force est de constater que ce fut une rudement bonne idée. Starbucks, mcdo, immenses centres commerciaux modernes (dont un Carrefour !) , etc… Nous sommes bien dans un avant-poste du royaume de la consommation.
C’est ici que vont l’immense majorité des touristes visiblement. On découvre enfin les fameuses plages de sables fins, avec ses surfeurs, qui font la réputation de l’île.
Cela ne suffit pas pour nous réconcilier avec Bali, mais on commence à comprendre l’attrait qu’elle peut avoir.